Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Filmsactu
par Pierre Champleboux
Le frisson n’est pas autant au rendez-vous que dans les deux films précédents, et les bons sentiments sonnent cette fois-ci légèrement moins juste qu’auparavant. Ce préquel offre néanmoins un spectacle extrêmement divertissant, rondement mené et porté par un duo d’acteurs fabuleux.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Figaro
par O.D.
Intelligent, tendu, rythmé, Sans un bruit : jour 1 quitte donc les rivages de l'épouvante pour se rapprocher de ceux d'une science-fiction radicale et nihiliste. Le pari était osé. Il est réussi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Point
par Yaël Djender
Le troisième volet de la saga, à la fois le plus spectaculaire et le plus intimiste, est porté par des interprétations magistrales de Lupita Nyong’o et Joseph Quinn.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Mi-film d’horreur, mi-film apocalyptique, Sans un bruit : jour 1 suit de manière efficace le parcours de deux survivants plongés dans un New York réduit au silence.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Mi-film d’horreur, mi-film apocalyptique, Sans un bruit : jour 1 suit de manière efficace le parcours de deux survivants plongés dans un New York réduit au silence.
La critique complète est disponible sur le site Le Dauphiné Libéré
Le Parisien
par Michel Valentin
Le film tient donc sa promesse de nous faire sursauter au moindre bruit. Mais au-delà de l’intrigue, qui fonctionne, et du suspense, permanent, on reste toutefois un peu sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Olivier Lamm
Comme si Sans un bruit : jour 1 actait une nouvelle étape dans la mutation du film apocalyptique, plus en phase avec le sens de l’histoire : après le blockbuster Cassandre, le film soins palliatifs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Joanna Blain
Ce préquel ne révolutionne, certes, pas le genre et perpétue même quelques poncifs – comme souvent en dystopie, l’État abandonne très vite ses citoyens, quitte à les bombarder pour venir à bout des monstres. Les adeptes de fin du monde au cinéma devraient toutefois trouver leur compte devant cette fiction plutôt bien ficelée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ecran Large
par Geoffrey Crété
Ce n’est pas mauvais, c’est juste extrêmement moyen. Mieux vaut revoir Cloverfield, et accepter que la saga Sans un bruit n’a déjà plus grand-chose à raconter.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Geek
par Amandine Jonniaux
Sans un bruit : jour 1 n’est pas exempt de lacunes, mais ses prédécesseurs non plus. Il a pour lui la force de ses interprètes, de belles idées de mise en scène et une envie de dépasser un cadre qu’on aurait cru, à tort, plus restreint.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Dans un sentimentalisme éteint, Michael Sarnoski semble ainsi avoir extirpé les mauvais penchants de ses deux aînés, balayant d’un revers de main la prodigieuse matière théorique et de sidération qui avait nourri les épopées passées.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Filmsactu
Le frisson n’est pas autant au rendez-vous que dans les deux films précédents, et les bons sentiments sonnent cette fois-ci légèrement moins juste qu’auparavant. Ce préquel offre néanmoins un spectacle extrêmement divertissant, rondement mené et porté par un duo d’acteurs fabuleux.
Le Figaro
Intelligent, tendu, rythmé, Sans un bruit : jour 1 quitte donc les rivages de l'épouvante pour se rapprocher de ceux d'une science-fiction radicale et nihiliste. Le pari était osé. Il est réussi.
Le Point
Le troisième volet de la saga, à la fois le plus spectaculaire et le plus intimiste, est porté par des interprétations magistrales de Lupita Nyong’o et Joseph Quinn.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Mi-film d’horreur, mi-film apocalyptique, Sans un bruit : jour 1 suit de manière efficace le parcours de deux survivants plongés dans un New York réduit au silence.
Le Dauphiné Libéré
Mi-film d’horreur, mi-film apocalyptique, Sans un bruit : jour 1 suit de manière efficace le parcours de deux survivants plongés dans un New York réduit au silence.
Le Parisien
Le film tient donc sa promesse de nous faire sursauter au moindre bruit. Mais au-delà de l’intrigue, qui fonctionne, et du suspense, permanent, on reste toutefois un peu sur notre faim.
Libération
Comme si Sans un bruit : jour 1 actait une nouvelle étape dans la mutation du film apocalyptique, plus en phase avec le sens de l’histoire : après le blockbuster Cassandre, le film soins palliatifs.
Télérama
Ce préquel ne révolutionne, certes, pas le genre et perpétue même quelques poncifs – comme souvent en dystopie, l’État abandonne très vite ses citoyens, quitte à les bombarder pour venir à bout des monstres. Les adeptes de fin du monde au cinéma devraient toutefois trouver leur compte devant cette fiction plutôt bien ficelée.
Ecran Large
Ce n’est pas mauvais, c’est juste extrêmement moyen. Mieux vaut revoir Cloverfield, et accepter que la saga Sans un bruit n’a déjà plus grand-chose à raconter.
Le Journal du Geek
Sans un bruit : jour 1 n’est pas exempt de lacunes, mais ses prédécesseurs non plus. Il a pour lui la force de ses interprètes, de belles idées de mise en scène et une envie de dépasser un cadre qu’on aurait cru, à tort, plus restreint.
Les Inrockuptibles
Dans un sentimentalisme éteint, Michael Sarnoski semble ainsi avoir extirpé les mauvais penchants de ses deux aînés, balayant d’un revers de main la prodigieuse matière théorique et de sidération qui avait nourri les épopées passées.