Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Femme Actuelle
par La rédaction
Un rôle de qualité pour Bernard Campan, sobre, simple — et un beau voyage pour les yeux.
Voici
par La rédaction
Sur fonds de paysages grecs idylliques, on plonge dans une atmosphère où amour, secrets et promesses cohabitent. Mais une certaine légèreté évite la pluie de larmes attendue.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Malgré tous les ingrédients d'une belle tragédie (qui plus est dont l'action se déroule dans le berceau du genre), des décors naturels magnifiques et des acteurs engagés, le film peine néanmoins à nous emporter, alourdi par une mise en scène sans surprise, des dialogues un manquant de naturel, et une musique trop appuyée.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Parisien
par Emmanuel Marolle
Réalisé par Takis Candilis, ancien directeur adjoint de TF1 devenu cinéaste, l’Enfant qui mesurait le monde est un entre-deux. Ni raté ni réussi, assez ennuyeux, un peu touchant parfois.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Tiré d’un roman de l’écrivain suisse Metin Arditi, le film, qui résonne avec la vie personnelle du réalisateur Takis Candilis, relate avec délicatesse le lent rapprochement entre Yannis et son grand-père. Dommage que ce joli récit s’achève sur une fin trop lisse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par V. Cau.
Adapté du roman du même nom de Metin Arditi, le film se contente d’évoquer par petites touches le contexte économique que l’écrivain s’est attaché à développer dans son livre. (...) Un parti pris réducteur qui, en privilégiant les sentiments, produit un film charmant. Pas plus.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un retour aux sources trop convenu pour susciter de réelle émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
Un mélo tire-larmes trop cousu de fil blanc.
Télé 2 semaines
par T.C.
Malgré de belles images des îles grecques, il lui manque un scénario solide, tant son film surfe sur les clichés et le déjà-vu.
Télérama
par Frédéric Strauss
Il manque une vitalité qu’aurait pu apporter le décor de l’île de Spetses, rendue trop familière par le réalisateur, d’origine grecque. Seul Bernard Campan trouve la note sobrement juste pour nous faire traverser ce drame familial qui va vers l’espoir.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifllet
Takis Candilis semble avoir oublié que l’intérêt premier était cet enfant qui voit le monde à travers des chiffres et des mesures, pas ce grand-père endeuillé qu’on peine à plaindre.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifllet
Raphaël Brottier, qui joue Yannis, est une révélation. Son jeu est intense, son regard, profond, et il aurait mérité qu’on lui consacre davantage de scènes.
Première
par Emma Poesy
Un mélo sous le soleil, prévisible et peu convaincant sur cette rencontre improvisée entre deux membres d’une même famille, auquel Takis Candilis (...) a jugé bon de greffer de manière assez artificielle les enjeux socio-économiques de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Première
Femme Actuelle
Un rôle de qualité pour Bernard Campan, sobre, simple — et un beau voyage pour les yeux.
Voici
Sur fonds de paysages grecs idylliques, on plonge dans une atmosphère où amour, secrets et promesses cohabitent. Mais une certaine légèreté évite la pluie de larmes attendue.
Franceinfo Culture
Malgré tous les ingrédients d'une belle tragédie (qui plus est dont l'action se déroule dans le berceau du genre), des décors naturels magnifiques et des acteurs engagés, le film peine néanmoins à nous emporter, alourdi par une mise en scène sans surprise, des dialogues un manquant de naturel, et une musique trop appuyée.
Le Parisien
Réalisé par Takis Candilis, ancien directeur adjoint de TF1 devenu cinéaste, l’Enfant qui mesurait le monde est un entre-deux. Ni raté ni réussi, assez ennuyeux, un peu touchant parfois.
La Croix
Tiré d’un roman de l’écrivain suisse Metin Arditi, le film, qui résonne avec la vie personnelle du réalisateur Takis Candilis, relate avec délicatesse le lent rapprochement entre Yannis et son grand-père. Dommage que ce joli récit s’achève sur une fin trop lisse.
Le Monde
Adapté du roman du même nom de Metin Arditi, le film se contente d’évoquer par petites touches le contexte économique que l’écrivain s’est attaché à développer dans son livre. (...) Un parti pris réducteur qui, en privilégiant les sentiments, produit un film charmant. Pas plus.
Les Fiches du Cinéma
Un retour aux sources trop convenu pour susciter de réelle émotion.
Ouest France
Un mélo tire-larmes trop cousu de fil blanc.
Télé 2 semaines
Malgré de belles images des îles grecques, il lui manque un scénario solide, tant son film surfe sur les clichés et le déjà-vu.
Télérama
Il manque une vitalité qu’aurait pu apporter le décor de l’île de Spetses, rendue trop familière par le réalisateur, d’origine grecque. Seul Bernard Campan trouve la note sobrement juste pour nous faire traverser ce drame familial qui va vers l’espoir.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Takis Candilis semble avoir oublié que l’intérêt premier était cet enfant qui voit le monde à travers des chiffres et des mesures, pas ce grand-père endeuillé qu’on peine à plaindre.
Le Dauphiné Libéré
Raphaël Brottier, qui joue Yannis, est une révélation. Son jeu est intense, son regard, profond, et il aurait mérité qu’on lui consacre davantage de scènes.
Première
Un mélo sous le soleil, prévisible et peu convaincant sur cette rencontre improvisée entre deux membres d’une même famille, auquel Takis Candilis (...) a jugé bon de greffer de manière assez artificielle les enjeux socio-économiques de son pays.