Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cela tourne en farce ultra-gore, qui ne crache pas sur le potache, infiniment réjouissante pour qui n’a pas froid aux yeux.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Frédérique Lambert
Avec cette tragi-comédie loufoque et satirique que n’auraient pas reniée Gustave Kervern et Benoît Delépine, Jean-Christophe Meurisse française poursuit avec brio son renouveau de la comédie française en proposant un instantané du dysfonctionnement contemporain.
Franceinfo Culture
par La rédaction
Le gratin de l'humour français est réuni dans la comédie la plus trash de l'année, inspirée de l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Drôles et irrévérencieux, les Pistolets en plastique, de Jean-Christophe Meurisse, tirent à vue sur l’époque, les jugements à l’emporte-pièce et la fascination pour le mal.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par É.N.
Mocky et les Monty Python ont trouvé leur successeur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Entre les enquêtrices qui dissertent d’apéro à base de verrines après avoir énucléé un homme, la gardienne d’immeuble au racisme décomplexé et les flics danois totalement butés face aux flics français d’une nullité crasse (...), on est tout le temps surpris et on rit énormément. D’autant que ces situations hilarantes sont portées par des comédiens géniaux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Thierry Chèze
Porté par des comédiens déments (Laurent Stocker en tête), le résultat est aussi gonflé qu'hilarant.
CNews
par La rédaction
À mi-chemin entre la satire sociale, la parodie policière, et la romance gore, Les pistolets en plastique se révèle être une bonne surprise à partir du moment où on sait où l'on met les pieds.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Même si le scénario part dans tous les sens et étire inutilement certaines saynètes, le nouveau film du leader de la troupe Les Chiens de Navarre réjouit par son cynisme et sa noirceur absolus.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par La rédaction
Le propos est cruel et fait mouche, porté par une troupe au diapason. Au jeu des ces Pistolets en plastique, on sourit, parfois jaune.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans sa nouvelle comédie, le provocateur Jean-Christophe Meurisse s'inspire lointainement de l'affaire Dupont de Ligonnès. Pour les amateurs d'humour acide.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Meurisse s’approprie l’affaire Dupont de Ligonnès pour livrer une satire drôle, mais qui aurait gagné à être plus fédératrice.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Les Pistolets en plastique ne s’offre pas d’autre porte de sortie qu’une force d’aspiration vers le glauque, série de numéros souvent extatiques glissant en pente douce vers un abîme de morbidité.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par François Léger
Constamment provoc’ mais rarement obscène, Meurisse va chercher dans la réalité ce qu’il y a de plus tordu pour l’amarrer à son propre univers déjà bien déjanté. Sans trop de coquetteries dans la réalisation, il mise surtout sur sens épatant du dialogue et de la direction d’acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Stéphane C. Jonathan
La sanglante comédie du metteur en scène des Chiens de Navarre, Jean-Christophe Meurisse, s’amuse avec un fait divers authentique pour dire la folie des hommes. Âmes sensibles, accrochez-vous.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
(...) Rien n'est tiède dans cette parodie acide, jusqu'à la limite du mauvais goût, porté par un excellent casting et des dialogues savoureux. On aime ou on déteste.
Télérama
par Jérémie Couston
Sans ménager, avec son petit théâtre des horreurs, les spectateurs, subissant de plein fouet les éclaboussures sanguinolentes dont ils raffolent en secret, Jean-Christophe Meurisse épingle au coutelas la fascination de ses compatriotes pour les crimes sordides.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
On retrouve dans Les Pistolets en plastique ce qui charpente et déconstruit les premiers longs métrages tapageurs du Chien de Navarre Jean-Christophe Meurisse, Apnée et Oranges sanguines : une accumulation d’épisodes loufoques ou drolatiques qui grandguignolisent le quotidien en cultivant méthodiquement le malaise, et segmentent un récit dont la continuité est assurée par un fil rouge plus ou moins ténu.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Si Les pistolets en plastique démarre en fanfare en décryptant l’absurdité du réel avec un humour décapant, Meurisse choisit encore (comme Oranges sanguines) de finalement basculer dans le trash gratuit pour plonger dans une parodie bien futile.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Nicolas Schaller
Meurisse procède par association libre de saynètes où le plaisir du dialogue satirique le dispute à l’irrévérence provocatrice qui peut à tout moment basculer dans l’absurde, le mauvais goût, voire le portnawak.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par M. Dl
Le film ne remporte ses paris que par à-coups – disons une saynète sur deux, dans la première partie – quand il ne passe pas trop de temps à tourner en ridicule des clichés (...). Et on perd de vue l’essence du ravissement morbide qu’on pourrait traduire par cette question : et si ça m’arrivait ?
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
Jouant dès le départ la carte d’un loufoque trash – quelque part entre Dupontel et Dupieux - le film aura du mal à trouver sa singularité alors qu’il recherche en permanence le pas de côté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par G.E.
Par le traitement faisandé des personnages (il les prend de haut, tout en leur servant la soupe), Meurisse accouche d'une enfilade de scènes crispantes qui débouchent à vrai dire sur une représentation de la violence assez irresponsable, voire franchement abjecte.
Télé Loisirs
par S.O.
Toute ressemblance avec un fait divers est voulue et le réalisateur d'Oranges sanguines, adepte du politiquement incorrect, s'amuse à filmer l'abjection sur un ton badin dans ce qui s'apparente à une suite de sketchs plus ou moins drôles.
Critikat.com
par Robin Vaz
Une succession de séquences étirées qui confondent comédie et hystérie, en mêlant regard ricanant sur la France périphérique, explosion gratuite de violence et sketches d’humoristes en vogue arbitrairement intégrés à l’ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est très drôle quand c’est mordant. Ça pose davantage question quand le trash (énucléation, masturbation devant le lit conjugal du psychopathe, reconstitution au millimètre de la tuerie des Ligonnès) se place moralement en surplomb des petites gens qu’il cloue au pilori. Un peu facile, au final.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Paris Match
par La rédaction
Rien de pire qu'une comédie qui cherche en permanence à provoquer le rire à grands coups de tape dans le dos, genre "tu l'as vu mon audace ?" Une déception.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
Cela tourne en farce ultra-gore, qui ne crache pas sur le potache, infiniment réjouissante pour qui n’a pas froid aux yeux.
Culturopoing.com
Avec cette tragi-comédie loufoque et satirique que n’auraient pas reniée Gustave Kervern et Benoît Delépine, Jean-Christophe Meurisse française poursuit avec brio son renouveau de la comédie française en proposant un instantané du dysfonctionnement contemporain.
Franceinfo Culture
Le gratin de l'humour français est réuni dans la comédie la plus trash de l'année, inspirée de l'affaire Xavier Dupont de Ligonnès.
L'Humanité
Drôles et irrévérencieux, les Pistolets en plastique, de Jean-Christophe Meurisse, tirent à vue sur l’époque, les jugements à l’emporte-pièce et la fascination pour le mal.
Le Figaro
Mocky et les Monty Python ont trouvé leur successeur.
Le Parisien
Entre les enquêtrices qui dissertent d’apéro à base de verrines après avoir énucléé un homme, la gardienne d’immeuble au racisme décomplexé et les flics danois totalement butés face aux flics français d’une nullité crasse (...), on est tout le temps surpris et on rit énormément. D’autant que ces situations hilarantes sont portées par des comédiens géniaux.
Ouest France
Porté par des comédiens déments (Laurent Stocker en tête), le résultat est aussi gonflé qu'hilarant.
CNews
À mi-chemin entre la satire sociale, la parodie policière, et la romance gore, Les pistolets en plastique se révèle être une bonne surprise à partir du moment où on sait où l'on met les pieds.
Le Journal du Dimanche
Même si le scénario part dans tous les sens et étire inutilement certaines saynètes, le nouveau film du leader de la troupe Les Chiens de Navarre réjouit par son cynisme et sa noirceur absolus.
Le Point
Le propos est cruel et fait mouche, porté par une troupe au diapason. Au jeu des ces Pistolets en plastique, on sourit, parfois jaune.
Les Echos
Dans sa nouvelle comédie, le provocateur Jean-Christophe Meurisse s'inspire lointainement de l'affaire Dupont de Ligonnès. Pour les amateurs d'humour acide.
Les Fiches du Cinéma
Meurisse s’approprie l’affaire Dupont de Ligonnès pour livrer une satire drôle, mais qui aurait gagné à être plus fédératrice.
Les Inrockuptibles
Les Pistolets en plastique ne s’offre pas d’autre porte de sortie qu’une force d’aspiration vers le glauque, série de numéros souvent extatiques glissant en pente douce vers un abîme de morbidité.
Première
Constamment provoc’ mais rarement obscène, Meurisse va chercher dans la réalité ce qu’il y a de plus tordu pour l’amarrer à son propre univers déjà bien déjanté. Sans trop de coquetteries dans la réalisation, il mise surtout sur sens épatant du dialogue et de la direction d’acteurs.
Sud Ouest
La sanglante comédie du metteur en scène des Chiens de Navarre, Jean-Christophe Meurisse, s’amuse avec un fait divers authentique pour dire la folie des hommes. Âmes sensibles, accrochez-vous.
Télé 7 Jours
(...) Rien n'est tiède dans cette parodie acide, jusqu'à la limite du mauvais goût, porté par un excellent casting et des dialogues savoureux. On aime ou on déteste.
Télérama
Sans ménager, avec son petit théâtre des horreurs, les spectateurs, subissant de plein fouet les éclaboussures sanguinolentes dont ils raffolent en secret, Jean-Christophe Meurisse épingle au coutelas la fascination de ses compatriotes pour les crimes sordides.
Cahiers du Cinéma
On retrouve dans Les Pistolets en plastique ce qui charpente et déconstruit les premiers longs métrages tapageurs du Chien de Navarre Jean-Christophe Meurisse, Apnée et Oranges sanguines : une accumulation d’épisodes loufoques ou drolatiques qui grandguignolisent le quotidien en cultivant méthodiquement le malaise, et segmentent un récit dont la continuité est assurée par un fil rouge plus ou moins ténu.
Ecran Large
Si Les pistolets en plastique démarre en fanfare en décryptant l’absurdité du réel avec un humour décapant, Meurisse choisit encore (comme Oranges sanguines) de finalement basculer dans le trash gratuit pour plonger dans une parodie bien futile.
L'Obs
Meurisse procède par association libre de saynètes où le plaisir du dialogue satirique le dispute à l’irrévérence provocatrice qui peut à tout moment basculer dans l’absurde, le mauvais goût, voire le portnawak.
Le Monde
Le film ne remporte ses paris que par à-coups – disons une saynète sur deux, dans la première partie – quand il ne passe pas trop de temps à tourner en ridicule des clichés (...). Et on perd de vue l’essence du ravissement morbide qu’on pourrait traduire par cette question : et si ça m’arrivait ?
Libération
Jouant dès le départ la carte d’un loufoque trash – quelque part entre Dupontel et Dupieux - le film aura du mal à trouver sa singularité alors qu’il recherche en permanence le pas de côté.
Mad Movies
Par le traitement faisandé des personnages (il les prend de haut, tout en leur servant la soupe), Meurisse accouche d'une enfilade de scènes crispantes qui débouchent à vrai dire sur une représentation de la violence assez irresponsable, voire franchement abjecte.
Télé Loisirs
Toute ressemblance avec un fait divers est voulue et le réalisateur d'Oranges sanguines, adepte du politiquement incorrect, s'amuse à filmer l'abjection sur un ton badin dans ce qui s'apparente à une suite de sketchs plus ou moins drôles.
Critikat.com
Une succession de séquences étirées qui confondent comédie et hystérie, en mêlant regard ricanant sur la France périphérique, explosion gratuite de violence et sketches d’humoristes en vogue arbitrairement intégrés à l’ensemble.
La Voix du Nord
C’est très drôle quand c’est mordant. Ça pose davantage question quand le trash (énucléation, masturbation devant le lit conjugal du psychopathe, reconstitution au millimètre de la tuerie des Ligonnès) se place moralement en surplomb des petites gens qu’il cloue au pilori. Un peu facile, au final.
Paris Match
Rien de pire qu'une comédie qui cherche en permanence à provoquer le rire à grands coups de tape dans le dos, genre "tu l'as vu mon audace ?" Une déception.