Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Catherine Balle
« Un p’tit truc en plus » instaure une complicité entre le faux invalide et les vrais handicapés. Le reste du film est à la fois gonflé, drôle et très touchant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CNews
par La Rédaction
Un premier film réussi. L’humoriste, comédien et dramaturge Artus, passe pour la première fois à la réalisation, et signe avec «Un p’tit truc en plus» un long métrage à la bonne humeur débordante.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Elle
par Julia Dion
Pour son premier film, Artus réussit à faire rire et à émouvoir en évitant les clichés, se moquant de nos propres ambivalences sans jamais donner de leçons.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Pour son premier film, Artus a écrit des rôles sur mesure pour les jeunes retenus au casting. Ce parti pris fonctionne bien : il a trouvé un bon dosage d'humour et de tendresse, qui inspire la bienveillance.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
L’humoriste et comédien Artus signe une comédie solaire, qui croise cavale et vacances de jeunes adultes en situation de handicap mental.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Malgré ses quelques maladresses, cette jolie chronique estivale cocasse et chaleureuse vise dans le mille et porte sans mièvrerie son message de tolérance et d'acceptation de la différence.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
L’intrigue se révèle sans grande surprise, mais les personnages sont attachants. Une jolie leçon d’humanité et d’humilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par La Rédaction
Pour son premier film, Artus signe une comédie légère et bon enfant sur un sujet délicat, très risqué. Entouré par douze jeunes comédiens handicapés qui redoublent d'énergie et de naturel, il s'en sort par le rire et la fantaisie sans jamais verser dans la sensiblerie.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Thierry Chèze
Son atout majeur se situe (...) dans l’écriture de ses personnages atteints de handicap (...) et des situations où l’on rit beaucoup non pas d’eux mais avec eux. Et ce sans chercher à s’en excuser dans la foulée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Malgré des facilités, Artus parvient à convaincre, avec humour et émotion, à la fois devant et - pour la première fois - derrière la caméra.
Télé 7 Jours
par J.B
Pour son passage à la réalisation, Artus s'empare d'un sujet touchy, le handicap, et fait un sans-faute.
Télé Loisirs
par Y.J
Malgré des facilités, Artus convainc, avec humour et émotion, devant et (pour la première fois) derrière la caméra.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
En échappant miraculeusement à la caricature, Artus parvient à créer une comédie familiale sympathique qui réhabilite les personnes en situation de handicap et les travailleurs sociaux qui les accompagnent, sur le devant de la scène. Un film modeste mais débordant d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En équilibre certes pas toujours stable, ce film jovial ne trébuche jamais et fait rire sans embarras.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par J.Ma.
Une comédie généreuse, mais digne des Bisounours, laquelle, passé le choc des cultures, prône une relative égalité des rôles, l’acceptation des différences et la complicité entre les hommes de bonne volonté.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Ce qu’Artus réussit, c’est précisément à bien regarder ses personnages en les envisageant véritablement à égalité avec les valides, c’est-à-dire sans aucune espèce de retenue timorée dans la caricature, mais sans leur refuser pourtant un centimètre de terrain sur le plan de l’écriture, des possibilités de fiction, des facettes déployées par leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Cédric Coppola
De bonnes intentions qui n’empêchent malheureusement pas l’accumulation de poncifs ni d’éprouver un sentiment de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Yohan Haddad
Malgré une formidable troupe de comédiens amateurs, le film n’échappe pas à une lourdeur didactique et naïve, suggérant que les pires crasses des deux voyous devraient être finalement pardonnées au nom de la fraternité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Parisien
« Un p’tit truc en plus » instaure une complicité entre le faux invalide et les vrais handicapés. Le reste du film est à la fois gonflé, drôle et très touchant.
CNews
Un premier film réussi. L’humoriste, comédien et dramaturge Artus, passe pour la première fois à la réalisation, et signe avec «Un p’tit truc en plus» un long métrage à la bonne humeur débordante.
Elle
Pour son premier film, Artus réussit à faire rire et à émouvoir en évitant les clichés, se moquant de nos propres ambivalences sans jamais donner de leçons.
Femme Actuelle
Pour son premier film, Artus a écrit des rôles sur mesure pour les jeunes retenus au casting. Ce parti pris fonctionne bien : il a trouvé un bon dosage d'humour et de tendresse, qui inspire la bienveillance.
La Croix
L’humoriste et comédien Artus signe une comédie solaire, qui croise cavale et vacances de jeunes adultes en situation de handicap mental.
Le Figaro
Malgré ses quelques maladresses, cette jolie chronique estivale cocasse et chaleureuse vise dans le mille et porte sans mièvrerie son message de tolérance et d'acceptation de la différence.
Le Journal du Dimanche
L’intrigue se révèle sans grande surprise, mais les personnages sont attachants. Une jolie leçon d’humanité et d’humilité.
Le Point
Pour son premier film, Artus signe une comédie légère et bon enfant sur un sujet délicat, très risqué. Entouré par douze jeunes comédiens handicapés qui redoublent d'énergie et de naturel, il s'en sort par le rire et la fantaisie sans jamais verser dans la sensiblerie.
Première
Son atout majeur se situe (...) dans l’écriture de ses personnages atteints de handicap (...) et des situations où l’on rit beaucoup non pas d’eux mais avec eux. Et ce sans chercher à s’en excuser dans la foulée.
Télé 2 semaines
Malgré des facilités, Artus parvient à convaincre, avec humour et émotion, à la fois devant et - pour la première fois - derrière la caméra.
Télé 7 Jours
Pour son passage à la réalisation, Artus s'empare d'un sujet touchy, le handicap, et fait un sans-faute.
Télé Loisirs
Malgré des facilités, Artus convainc, avec humour et émotion, devant et (pour la première fois) derrière la caméra.
aVoir-aLire.com
En échappant miraculeusement à la caricature, Artus parvient à créer une comédie familiale sympathique qui réhabilite les personnes en situation de handicap et les travailleurs sociaux qui les accompagnent, sur le devant de la scène. Un film modeste mais débordant d’humanité.
L'Obs
En équilibre certes pas toujours stable, ce film jovial ne trébuche jamais et fait rire sans embarras.
Le Monde
Une comédie généreuse, mais digne des Bisounours, laquelle, passé le choc des cultures, prône une relative égalité des rôles, l’acceptation des différences et la complicité entre les hommes de bonne volonté.
Les Inrockuptibles
Ce qu’Artus réussit, c’est précisément à bien regarder ses personnages en les envisageant véritablement à égalité avec les valides, c’est-à-dire sans aucune espèce de retenue timorée dans la caricature, mais sans leur refuser pourtant un centimètre de terrain sur le plan de l’écriture, des possibilités de fiction, des facettes déployées par leurs personnages.
Sud Ouest
De bonnes intentions qui n’empêchent malheureusement pas l’accumulation de poncifs ni d’éprouver un sentiment de déjà-vu.
Télérama
Malgré une formidable troupe de comédiens amateurs, le film n’échappe pas à une lourdeur didactique et naïve, suggérant que les pires crasses des deux voyous devraient être finalement pardonnées au nom de la fraternité.