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Donatelloow
32 abonnés
204 critiques
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5,0
Publiée le 8 juin 2024
Grand fan de la saga « Bad Boys », celui-ci ne m’a pas déçu. Au contraire, j’ai passé un excellent moment. Le duo Will Smith-Martin Lawrence fonctionne toujours à merveille (qu’est ce que j’ai rigolé grâce à eux !), et les scènes d’actions sont très bien chorégraphiées. J’ai surtout été marqué par la réalisation que j’ai trouvé vraiment très innovante et inspirée, avec certains mouvements de caméra nous faisant directement penser à un jeu vidéo ; ce qui rend le film très immersif. Le rythme est très bien géré et je n’ai pas vu passer les deux heures. Mention spéciale à Jacob Scipio qui est vraiment spectaculaire dans ses scènes d’action et s’impose réellement comme l’un des nouveaux grands acteurs de film d’action. « Ride or Die » est au niveau des autres films de la saga, et est pour moi l’un des meilleurs films d’action de l’année.
Un film qui est arrivé dans les salles sans crier garde. Là où le troisième était tout juste 'correct', ce quatrième volet de la franchise est bon, avec de vraies bonnes surprises, beaucoup de moments qui font plaisirs. Particulièrement drôle, il est beau, bien rythmé: bien dosé.
Franchement le film est vraiment pas mal du tout avec de bonnes surprises, un scénario sans doute classique, mais les scènes d’actions sont terriblement efficaces. Le duo ne vieillit pas. En IMAX c’est génial.
Rien de neuf sous le soleil de Miami pour ce 4eme opus de la saga Bad Boys, Will Smith et Martin Lawrence forment toujours ce duo qui fonctionne, de l'action nerveuse, du fun, de l'humour (notamment grâce aux dialogues), des cameos (DJ Khaled, Jorney Lucas, Michael Bay...). La recette est appliquée à la lettre. Rien de neuf mais la saga nous propose une nouvelle fois un divertissement réussi, le métrage ce permettant même des idées de mise en scène assez ingénieuses et prend le temps de développer les personnages secondaires qui gagnent en sympathie avec cette 4eme aventure. Un film qui remplit son objectif et plaira aux fans de la saga.
Après Bad Boys For Life, on aurait pu penser que la saga était entre de bonnes mains avec Adil & Bilall. Mais ce nouvel épisode est carrément en roue libre : là où le troisième volet touchait un très bon équilibre entre humour, dramaturgie et action efficace, celui-ci rate toutes les cases entre un humour lourd, de l'action illisible et une dramaturgie à peine crédible desservi par un scénario écrit avec les pieds. Un énorme ratage et une belle déception.
La tristesse du cinéma d'action US depuis des années... Et ce n'est pas cet énième opus d'une franchise éculée, essorée, qui va arranger les choses. Comique de bas étage, duo insupportable tellement vu et revu dans ce style de prods (on est loin du 48 heures de Walter Hill), la nullité du scénar est cachée sous une couche littéralement et volontairement exagérée de scènes d'actions en CGI. Bref, on attend avec impatience le prochain opus, Bad Boys Vs Godzilla...
Martin Lawrence n'a tourné que cinq films en quinze ans et donne tout car il sait que c'est la fin, Will Smith surnage plus aisément mais tombe dans le cliché du vieux beau qui marque dès les premières minutes avec une couche de maquillage grossier pour tenter de rajeunir lors d'un mariage où la belle Vanessa Hudgens garde ses 20 ans de moins. Pathétique. Les deux stars n'ont pas tellement évolués, la santé en déclin est logique mais pour le reste on ne peut pas dire que les personnages aient évolué depuis 1995. L'humour bas du front de Marcus/Lawrence est le même, le machisme bon teint est le même, l'autosuffisance de Mike/Will est toujours au beau fixe. La nostalgie leur sauve la peau mais le pire reste une intrigue galvaudée d'où aucun suspense ou rebondissement ne surprend et que dire de cette mise en scène ?! Une mise en scène épileptique qui font des scènes d'action illisibles ou fouillies, tandis qu'une bonne partie "jeu vidéo" immersive est un calvaire visuel. Les Bad Boys sous botox et essouflés signent surtout les adieux et c'est tant mieux. Site : Selenie.fr
Les BADS BOYS sont de retour, pour rétablir l'honneur de leur capitaine accusé à tord d'être un ripoux. Les épisodes se suivent et malheureusement se ressemble. Beaucoup trop de grossièreté et de blagues pas drôle ou mal placée minent le scénario déjà faible et répétitif. Dommage....
Pour les fans de la première heure ,je vous conseille d'aller voir le quatrième volet de la franchise bad boys. il y a de l'action des rebondissements comme il faut. Et les acteurs martin Lawrence Will Smith et Vanessa hudgens et les autres sont dans se film des acteurs remarquables. Ils jouent leur rôle à la perfection donc je vous recommande d'aller voir ce film.
Des vieux acteurs fatigués qui viennent cachetonner, une intrigue de série policière peu inspirées, de l'action oubliable, des gags pour des gamins de segpa. Voilà les ingrédients de ce Bad Boys 4, encore plus médiocre que le 3. Ils devraient vraiment laisser cette licence mourir plutôt que d'en faire une fastandfuriousisation.
À l’image de la présence de Jacob Scipio, qui incarne le fils de Mike Lowrey. Adil El Arbi et Bilall Fallah cherchent à développer une tension dramatique entre un père absent et un fils hors la loi. Mais rien ne fonctionne, rien n’a d’importance ou d’impact, rien ne paraît crédible non plus dans cette approche qui sonne davantage comme une blague que comme un réel enjeu pour le film…
A part des scènes d'action très efficaces , le reste est pathétique ! Mais pour les scènes d'action débridées ,on a déjà Fast & Furious ! Will Smith est monolithique comme toujours et Martin Lawrence est digne de Pumba le phacochère ...mais sous amphets! Ils sont usés jusqu'à la corde !! On a même droit à une surdose de drones pour essayer de faire du neuf mais hélas avec ces 2 vieilles chêvres c'est impossible ! Un humour de chez les stagiaires pour blagues Carembar avec la base scato de Marcus ! C'est sans doute le dernier clou dans le cercueil des Bad Boys et je vais pas pleurer. Allez donc voir FURIOSA si vous voulez de l'action , c'est 100 fois mieux que ce film pop corn beurrés pour ricains gros et gras!
Lorsque le défunt Capitaine Howard se retrouve soudainement lié aux cartels de la drogue, Mike Lowrey & Marcus Burnett décident de braver tous les dangers pour blanchir son nom.
Les belges Adil El Arbi & Bilall Fallah rempilent pour un second opus, après Bad Boys for Life (2020) qui était pas désagréable certes, mais vite oubliable. Will Smith (55 ans) Martin Lawrence (59 ans) sont toujours de la partie et on ne peut s'empêcher d’avoir de la peine pour eux de les voir se ridiculiser de la sorte. En se reposant uniquement sur leur capital sympathie, les deux compères n’ont jamais cherché à se renouveler au fil de la saga et viennent cachetonner (et rayonner sur la scène internationale) comme pour mieux faire oublier leur carrière en berne (d’innombrables flops pour Will Smith et seulement 5 films en 15 ans pour Martin Lawrence).
Ce n’est clairement pas ici que le duo arrivera à renaître de ses cendres, à tour de rôle, ils incarnent des cinquantenaires sur le déclin, entre le premier qui fait une crise cardiaque et dont le taux de cholesterole doit être proche du point de rupture et le second qui cumule les crises de panique, on est vraiment à des années-lumières du tandem “m’as-tu-vu” du premier opus.
Côté scénario, ce quatrième volet semble se complaire à reprendre ce qui a déjà été vu et revu dans les précédents films (même certains gimmicks), là où la mise en scène tente de nous amadouer (et nous sortir de notre léthargie) en misant sur des plans en drone, en contre-plongée depuis l’intérieur du cadran d’une montre ou en utilisant la SnorriCam. Mais au final, est-ce qu’un bel enrobage est suffisant pour masquer les faiblesses d’un film ? Assurément non, la preuve en est, Bad Boys : Ride or Die (2024) se regarde d’un oeil, tout en scrutant sa montre de l’autre, c’est long et particulièrement insignifiant.
Bad Boys : Ride or Die est un dérèglement de tout bon sens, en ce que l’écriture des personnages et la réalisation se plaisent à forcer le trait, à caricaturer son duo de flics jusqu’à renverser leur caractérisation respective : Mike est sujet spoiler: aux crises de panique là où Marcus spoiler: pète les plombs et s’engage dans des situations dangereuses, qu’il gère plus ou moins bien d’ailleurs. Cette inversion reste cependant forcée, et peine à convaincre un spectateur habitué au caractère de chaque protagoniste. Il revient alors à la mise en scène de dynamiser l’ensemble pour le rendre plus crédible, à grand renfort de plans tantôt au drone tantôt en GoPro, avec accélérations ou ralentis voire même retours en arrière, d’un montage on ne peut plus charcutier – qui rend illisible la plupart des séquences d’action, à l’image de la poursuite sur l’autoroute –, d’une surenchère de néons et de chansons à la mode. Le film atteint des sommets de mauvais goût, notamment quand Marcus se délecte de bonbons et de hot-dogs de la veille, s’abreuve à la fontaine d’une quelconque boisson sucrée et embrasse avec envie son épouse devant la reste de sa famille ; il radicalise cette culture américaine du XXL déjà observée dans Godzilla x Kong: The New Empire (Adam Wingard, 2024). Une inflation de bêtise parfois récréative – voir à ce titre le crocodile albinos qualifiée de raciste parce qu’il s’attaque aux bad boys noirs – mais souvent indigente.